C’est tellement une partie de notre culture que nous avons des centaines de recettes pour cela. En fait, dans le nord de l’Allemagne, il a un statut culte à la fin de l’automne quand il est préférable après les premiers menus de gel et de restaurant servir le plat le plus célèbre Grünkohl mit Pinkel (chou frisé avec une sorte spéciale de saucisse). Vous aimez ça (comme je le fais), ou commander quelque chose d’autre. C’est prendre ou laisser sans amour entre les deux. C’est peut-être une tendance déclinante en Amérique du Nord ou en Angleterre mais je peux vous dire que le premier Championnat du Monde de Kale a été un événement réussi en Allemagne en janvier 2017. Surpris? J’ai été. Pour vous aider à comprendre ce qui se passe, nous y voilà: Le chou frisé est une sorte de chou vert du groupe de plantes Brassica Oleracea Acephala. Il est également connu comme borecole et a des feuilles vert foncé et même pourpre sans tête formée dans les feuilles centrales comme celle d’un chou. Il a d’abord été cultivé en Asie Mineure et a été amené en Europe par les voyageurs celtiques en 600 av. Kale est une centrale nutritionnelle, riches en vitamines, en minéraux tels que le fer et les protéines, tous jouent un rôle important pour la santé de la peau, des cheveux, des os et de la santé en général. En fait, beaucoup plus que l’épinard faisant kale le choix le plus sain. Variétés de chou frisé Il existe de nombreuses variétés offrant toutes les mêmes nutriments et les mêmes avantages pour la santé. Il est particulièrement riche en lutéine, Vit. K, A et C, nutriments prébiotiques et minéraux. Curly Kale: Cette variété de chou frisé a des feuilles ébouriffées et une tige centrale dure. Il est de couleur vert foncé et a une saveur délicieuse et forte. Chou frisé: Aussi connu sous le nom de chou frisé, le chou ornemental a des feuilles pourpres, vertes ou blanches et les tiges sont unies. Il a une saveur douce et une texture plus tendre. Chou vert toscan: Aussi appelé Lacinato, il a des feuilles bleu-vert foncé presque vert-noir avec un aspect en relief à ses feuilles. Il est plus doux, plus sucré et agréable au palais que le chou frisé. Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de ce de atelier de cuisine à Lille.
Chaque année, le ministère de l’Éducation nationale, le ministère de l’Intérieur et le ministère de la Justice communiquent à la CNCDH un bilan statistique de l’activité de leurs services en matière de lutte contre le racisme. Ces bilans chiffrés rendent uniquement compte des actes racistes constatés et rapportés par leurs services sur une période donnée. Ils livrent des informations sur le volume et la nature de la délinquance raciste constatée, sur le profil des « victimes » et des « auteurs », ainsi que sur les modes opératoires et les types de passage à l’acte. Pour en permettre une exploitation pertinente, la méthode retenue pour construire ces données requiert une attention particulière (Quel est le champ d’infractions retenu? Quelle est la qualité et la fiabilité des données extraites ? Une extraction exhaustive est-elle possible?, etc.), de même que les aléas susceptibles d’influer à la hausse ou à la baisse l’évolution du nombre d’actes racistes constatés (évolution du droit, directives particulières, etc.). Le bilan du ministère de l’Éducation nationale sur les faits à caractère raciste survenus en milieu scolaire repose sur les informations extraites du logiciel SIVIS, renseigné par les chefs d’établissement. Compte tenu du faible nombre de faits de cette nature signalés, il est difficile de procéder à une exploitation statistique pertinente. L’enquête de victimation, qui interroge tous les deux ans le vécu des élèves dans les établissements du second degré, offre un aperçu plus complet, et certainement plus fiable, des manifestations de racisme à l’école. S’agissant des bilans statistiques d’activité du ministère de l’Intérieur (SSMSI) et du ministère de la Justice, ils ont pour mérite de mettre en lumière la part du racisme qui s’exprime dans le champ infractionnel et qui remonte jusqu’aux services des enquêteurs, ainsi que la réponse pénale apportée. Les efforts de ces deux ministères pour présenter des données fiables et plus détaillées, sur la base d’une réforme en profondeur de leur système d’information, sont à saluer. Il est à noter que, depuis deux ans, le ministère de l’Intérieur communique à la CNCDH deux bilans chiffrés. Celui du service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) reflète l’activité réelle des services de police et de gendarmerie sur ce contentieux. Celui du service central du renseignement territorial (SCRT) s’inscrit davantage dans une démarche opérationnelle, l’objectif étant de renseigner les autorités publiques, à intervalles réguliers (tous les mois), sur les principaux signaux observés sur le terrain. Il répond également à une attente politique et sociale quant à la caractérisation du mobile « antimusulman», « antisémite » et « autre » des faits racistes rapportés. Les statistiques administratives sont insuffisantes pour dresser un état des lieux exhaustif du racisme en France, dès lors que, notamment, elles renvoient à sa seule appréhension pénale. Précisément, il faut tenir compte du « chiffre noir » qui affecte leur représentativité, le nombre de faits signalés étant très en deçà des faits réellement commis.