Dimanche dernier, par une froide journée un peu venteuse Ronchon, j’essayais de me réveiller à l’aide d’un café corsé. J’avais eu du mal à trouver le sommeil la veille au soir. Cela faisait déjà un moment déjà que j’attendais ce jour. Car ce jour-là, je m’apprêtais à faire quelque chose d’assez unique : en cette frabieuse journée, j’allais faire mon baptême de voltige à La Roche ! Peu après, nous sommes allés en famille pour rejoindre l’aérodrome, où j’ai eu le plaisir de rencontrer Ben, qui allait me faire découvrir les joies de la voltige. Deux autres gars étaient là comme moi à vivre cette expérience extraordinaire. Ils étaient eux aussi venus accompagnés de leur famille ; pour un peu, on se serait cru dans une sortie scolaire. Nous nous sommes tous installés dans le hangar, et Jérôme a alors pris la casquette de formateur. Il nous a fait un briefing de 20 minutes, nous présentant chaque figure. Mes mômes donnaient l’impression d’écouter un conte de fée, bouche bée. Nous allions passer dans l’ordre de notre arrivée : j’étais bon dernier à passer, ce qui m’arrangeait très bien, au demeurant. J’ai donc regardé le premier passager. Wow ! Vu d’ici, c’est déjà saisissant. Le moment venu, je vais mettre ma combinaison de vol. L’appareil rejoint le sol et le pilote m’attend. Je monte dans l’appareil tout en faisant une petite prière. Max me répète les consignes à suivre. Le moment du décollage est venue, je me retrouve devant la piste. Matthieu me rappelle l’existence du sac à papier sur ma droite. Et là, ça y est, le paysage défile ! D’entrée de jeu, le spectacle depuis le cockpit est fantastique. Enfin, Denis m’annonce qu’on va attaquer le vol acrobatique. Et quand mon pilote littéralemeent en vrille, je ne peux m’empêcher de crier. Les sensations sont phénoménale ! La terre virevoltent dans tous les sens, c’est extraordinaire. Cependant ce n’est là qu’un début, car on enchaîne bientôt les figures : vrilles, vol dos, looping : la totale ! En fin de compte, 10 minutes de pur bonheur. Même si je suis ressorti un peu blafard de l’avion, j’avais le coeur au bord des lèvres. Mais j’ai adoré cette séance de voltige!Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de cette expérience de ce voltige aérienne à Albon.
Je suis heureux de me joindre à vous aujourd’hui avec ce qui baisse de tous les temps depuis la meilleure manifestation pour l’indépendance dans l’arrière-plan de notre pays. Il y a 5 ans, un grand Nous, dans l’ombre symbolique duquel nous nous tenons, a signé la Proclamation d’émancipation. Ce décret capital est venu comme une grande lumière de souhait pour d’innombrables esclaves noirs qui avaient été brûlés par le feu de l’injustice cinglante. Il arriva comme une joyeuse aube pour terminer la longue soirée de captivité. Mais un siècle plus tard, nous devons faire face au fait déchirant que le nègre n’est toujours pas libre. 100 ans plus tard, le mode de vie dans le Noir continue d’être malheureusement paralysé par les menottes de la ségrégation et aussi par les réserves de discrimination. Cent ans plus tard, les modes de vie des nègres sur une île solitaire de pauvreté au milieu d’une vaste mer de succès matériel. Cent ans plus tard, le Noir languit toujours dans les coins de la communauté américaine et se trouve en exil dans sa propre propriété. Nous sommes donc venus ici en ce moment pour dramatiser une situation épouvantable. Dans un sens, nous sommes venus aux fonds de notre pays pour encaisser un chèque. Lorsque les concepteurs de notre république ont publié les magnifiques termes de la Constitution et de la Proclamation d’indépendance, ils mettaient votre signature sur un promis sachez que chaque Américain devait hériter. Cette prise de conscience était en fait une garantie que tous les gars seront garantis des droits légaux inaliénables d’existence, de liberté et de poursuite du contentement. Il est évident de nos jours que l’Amérique a manqué à cette promesse en ce qui concerne son peuple d’ombre. Au lieu d’honorer cette exigence sacrée, les États-Unis ont dû au peuple noir un mauvais contrôle; un chèque qui revient sans cesse a noté «des fonds insuffisants». Mais nous refusons de croire que l’institution bancaire de la justice est en faillite. Nous refusons d’imaginer que nous avons maintenant des fonds insuffisants à l’intérieur des coffres fantastiques de possibilité de la terre. Pour que nous arrivions à financer ce chèque, soyez sûr que cela peut nous donner après désir la richesse de l’indépendance et la sécurité de la justice. Nous sommes maintenant venus dans ce lieu sacré particulier pour signaler à l’Amérique la dure urgence actuelle. Ce n’est vraiment pas le moment de s’engager dans le luxe de se rafraîchir ou d’accepter la médecine tranquillisante du gradualisme. C’est le moment d’aider à concrétiser la promesse de la démocratie. Il est maintenant temps de monter à travers la vallée sombre et désolée de la ségrégation jusqu’à la route ensoleillée des droits raciaux propres. C’est le moment d’ouvrir les portes de l’opportunité à la plupart des enfants de Dieu. C’est le moment de sortir notre terre de vos sables mouvants d’injustice raciale pour le solide rocher de la fraternité.
Récemment, j’ai réalisé un rêve de gosse à l’occasion d’un baptême de chute libre à Poitiers. Je ne m’y étais encore jamais essayé, et j’ai avant tout été troublé par l’intensité de cette journée. J’avais lu de nombreux témoignages à gauche et à droite pour savoir dans quoi je me lançais, mais la réalité s’est révélée bien plus intense. une poignée de secondes. Cela fait donc cher la seconde, vu le prix du saut. Mais l’expérience commence en fait bien avant la chute libre. Ca survient dès le réveil, lorsqu’on sort du sommeil et qu’on se fait cette réflexion : « aujourd’hui, je vais sauter depuis un avion, saut en parachute et confier à ma survie à un morceau de tissu devra me maintenir en vie ». Et je peux vous dire que ça altère la manière d’envisager la journée ! Le détail le plus insignifiant prend un sens particulier. Une phrase aussi innocente que « Reviens entier, chéri » suffit à augmenter le rythme cardiaque. Je me suis rendu à l’aéroclub, où j’ai retrouvé les autres participants, et surtout les moniteurs qui allaient nous accompagner. Puis on a eu droit au briefing, nous démontrant pourquoi un petit rectangle de tissu était censé nous permettre de nous en sortir. Après ça, les choses se sont corsées. Tout équipés nous avons rejoint l’appareil. J’ai eu une brusque montée de stress. Je prends souvent l’avion, mais les petits appareils, j’ai plus de mal. On s’est serrés du mieux possible dans la cabine et on a décollé. Tandis que nous nous rapprochons du moment fatidique, je ne cesse de fixer la portepar laquelle je suis censé sauter :un pauvre rideau transparent rivé par quelques boutons pressions. Tout à coup, la porte s’ouvre : le premier tandem va sauter. Je croise le regard du candidat. Terrifié. Une seconde après, il a basculé dans le vide. Mon tour est venu. Je prends position, repense aux recommandations, et me retrouve l’instant d’après à regarder le paysage quatre kilomètres plus bas. La scène a quelque chose d’impossible : qu’est-ce qui m’a pris ? Une seconde plus tard, je bascule dans le vide. Et là, c’est parti pour 50 secondes de béatitude. Un instant impossible à évoquer tant tout y est bizarre Je tombe à une telle vitesse que l »air devient quelque chose de palpable. Alors que le sol grandit à vue d’oeil, le parachute s’ouvre, et le sifflement du vent cède place à un silence étourdissant. C’est la fin d’une expérience extraordinaire. Mais cet instant va me poursuivre un moment ! Si vous aussi, vous voulez apprécier les délices du saut, je vous mets en lien le site où j’ai déniché ce baptême de chute libre à Lille !En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste reconnu de saut en parachute.
Lorsque David Westin était président d’ABC News pendant les années Clinton, Bush et les premières années d’Obama, la demande occasionnelle de la Maison Blanche pour un discours présidentiel aux heures de grande écoute était presque toujours accordée, débattue uniquement en privé parmi les dirigeants du réseau décidant d’abandonner. leurs ondes.
«Il était plus ou moins supposé que nous allions les prendre… Lorsque nous avions des adresses aux heures de grande écoute dans le bureau ovale, c’était clairement un événement très intéressant», dit Westin, qui est maintenant une présentatrice de Bloomberg TV. «Mais, au fil du temps, des questions se sont posées quant à savoir si le président parlait en tant que chef du gouvernement ou chef d’un parti politique.»
Les principaux réseaux ont débattu cette semaine d’une série de questions similaires après que le président Donald Trump a demandé du temps d’antenne mardi soir. Seulement cette fois, leurs délibérations ont été compliquées par la position du président à l’égard des médias d’information eux-mêmes, et leur contorsion se répand dans la vue du public. Mais alors que les critiques ont rapidement fait exploser les réseaux en fin de compte acquiescer à Trump – les accusant de reculer devant un président qui les qualifie à plusieurs reprises de «fausses nouvelles» et de donner une plate-forme aux distorsions de Trump – la prise de décision des réseaux est plus compliquée que leur relation avec le président et leur peur des représailles. Les réseaux n’ont aucun moyen de gagner.
« Il y a trois choses qui se passent: une tradition de dire » oui « , qu’ils veulent probablement sentir que c’est digne d’intérêt et important, et qu’aucun responsable de presse ne veut être accusé de parti pris partisan en ne le diffusant pas », a déclaré l’ancien CBS News. le président Andrew Heyward dans une interview, soulignant cependant que le dernier élément était sûrement le plus petit morceau du gâteau.
Lorsque le président a fait sa demande lundi, les réseaux ont bégayé – et une procédure de prise de décision de routine a soudainement semblé évidente. Bien que tous les grands réseaux aient depuis annoncé leur intention de diffuser les remarques de Trump, leurs angoisses ont déclenché une vague de méta-critiques sur la nature de la présidentielle. adresses: si elles sont intrinsèquement dignes d’intérêt, si elles sont intrinsèquement politiques et si un droit de réponse des démocrates devrait être accordé. Cela a également suscité des critiques à propos des discours de ce président en particulier, alors que les Américains qui critiquent Trump ont débattu de la déférence à montrer, le cas échéant, à un commandant en chef qui, selon eux, induit constamment le peuple américain en erreur.
Comme Westin l’a noté, le temps d’antenne pour les discours présidentiels est généralement accordé: la décision est presque une évidence en temps d’urgence nationale, comme une attaque terroriste, ou une période d’importance civique démesurée (pensez au discours de l’ancien président Barack Obama sur la meurtre d’Oussama Ben Laden). «À mon époque, et j’étais chef des nouvelles de CBS de 1996 à 2005, [c’était] assez routinier dans la façon dont cela était géré», m’a dit Heyward, maintenant chercheur invité au MIT et à l’Arizona State University. «Je ne me souviens même pas d’une époque où il y avait eu beaucoup de débats sur l’opportunité de la diffuser ou non.»
Les réseaux doivent peser si ces annonces présidentielles sont dignes d’intérêt – et il est généralement déterminé qu’elles le sont. Pour les discours ouvertement politiques, comme celui que Trump prononce ce soir, un test d’équilibre devrait être appliqué, m’a dit Frank Sesno, directeur de l’École des médias et des affaires publiques de l’université George Washington. «Vous mettez les paroles et l’apparence du président contre les faits observables», a déclaré Sesno, notant que les chefs de bureau recherchent «une valeur d’information convaincante» et une «substance».
«C’est son premier discours au bureau ovale, cela se passe au milieu d’un gouvernement fermé, il y a un nouveau Congrès, et il a subordonné le financement du mur [frontalier] à la recherche d’une solution à la fermeture du gouvernement, qui affecte non seulement les 800 000 gouvernements. les employés mais aussi les personnes qui essaient de profiter des services gouvernementaux », a déclaré Sesno. «Selon ces normes, c’est un événement qui mérite d’être publié.»
Sesno, qui a couvert la Maison Blanche de 1984 à 1991 et a été chef du bureau de CNN à Washington depuis 1996 à 2001, a déclaré que ces demandes sont là où la relation entre la Maison Blanche et la presse compte vraiment: en particulier, la crédibilité du président et de l’attaché de presse. Westin m’a dit qu’il avait une fois passé 40 minutes au téléphone avec Don Baer, ancien directeur des communications du président Bill Clinton, à discuter de la nature d’une telle demande. « Je pense que la délibération sur l’opportunité de diffuser ceci tourne autour d’un bilan de mensonges à la fois du président et de l’attaché de presse », a déclaré Sesno.
Un ancien haut responsable des communications de la Maison Blanche d’Obama, qui a parlé sous couvert d’anonymat afin de ne pas compromettre le travail en cours, m’a expliqué la procédure opérationnelle standard pour faire de telles demandes: d’abord, l’attaché de presse ou un autre haut responsable des communications appellerait celui qui était le chef du bureau de garde. (Les principaux réseaux tournent et sont sur appel à tout moment.) Ensuite, cette personne servirait de liaison avec les chefs de bureau des autres réseaux, en les remplissant sur les détails. Enfin, chaque chef de bureau exécutait la demande dans sa chaîne de commandement, où se trouve au sommet le président du réseau. L’ancien responsable a suggéré qu’en général, les présidents de réseau sont directement impliqués dans la décision finale.
J’ai vécu une rencontre incroyablement particulière ces derniers temps parce que j’ai voyagé dans la zone sud de la côte ouest de Ca et du Mexique. J’ai déplacé l’observation des baleines et j’ai fini de patiner avec des dauphins. Quelle incroyable expertise, qui a été réalisée dans le but de protéger les mammifères marins. Les mammifères marins résident dans et autour des mers. Ceux-ci sont à sang confortable, respirent de l’oxygène, ont vos cheveux tôt ou tard dans leur mode de vie, donnent naissance à des cheveux frais (plutôt qu’à la ponte) et nourrissent leurs petits en sécrétant des produits laitiers. Les dauphins, les baleines, les fermiers, les otaries, les morses, les ours polaires, les lamantins et les dugongs (membres de la famille des lamantins) sont pris dans cette classification. Dans le passé, les mammifères marins ont obtenu un niveau très élevé d’assistance publique générale et de protection autorisée. Au cours des années 1960, le présentateur de télévision Flipper a diverti le public américain avec des récits concernant un dauphin remarquablement sage et capable qui se lia d’amitié et a vraiment aidé un groupe familial. Des attractions telles que Marineland en Floride et SeaWorld à Cal ont commencé par offrir des dauphins et des baleines acrobatiques dans des démonstrations extrêmement populaires. Le mouvement écologique croissant s’est emparé de l’intérêt du grand public pour les mammifères marins et a fait pression pour que des mesures soient prises pour protéger les créatures que beaucoup d’hommes et de femmes pensaient être très intelligentes et sociables. Pendant ce temps, la pêche sportive à la senne a été largement utilisée par les pêcheurs professionnels de thonidés à l’intérieur de l’océan Pacifique oriental chaud. Cette technique de pêche comprenait l’application d’énormes filets, souvent nombreux sur de longues distances, encerclés près des universités de thonidés. De nombreux dauphins ont été accidentellement capturés car ils se mêlent généralement à des flottes de thonidés dans cette partie de l’océan. Les animaux domestiques non ciblés pris dans le cadre d’activités de pêche sportive sont appelés «prises accessoires». Les prises accessoires de dauphins constituaient un problème public majeur. Sortir des énormes filets remplis de thon était une procédure prolongée. Par conséquent, les dauphins respirant l’air ont en fait été capturés pendant de très longues périodes sous l’eau et se sont souvent noyés. On estime en fait que plus de 400 000 dauphins et marsouins sont décédés un an de cette façon au cours des années 1960. Le tollé général ouvert au-dessus de ces tueries et le problème général de ce bien-être des mammifères marins ont conduit le Congrès américain à adopter le Underwater Mammal Protection Work de 1972. Le Underwater Mammal Security Act interdit la capture (recherche, blessure, enregistrement et harcèlement) de mammifères marins . Les répondants importent également des pubs sur la plupart des mammifères sous-marins ou leurs produits. Les exceptions sont bien sûr de temps en temps pour la recherche technologique, l’affichage public dans les aquariums, la recherche de subsistance standard par les autochtones de l’Alaska et plusieurs saisies accidentelles au cours des opérations de pêche sportive commerciale. Le but de la MMPA est généralement de maintenir les populations de la mer au niveau ou au-dessus du « meilleur respectueux de l’environnement ». La loi sur la sécurité des mammifères sous-marins a été adoptée chaque année avant les travaux sur les espèces vulnérables. Le MMPA a été motivé en grande partie par l’attachement du public pour les mammifères marins, plutôt que par une certaine compréhension de l’extinction imminente. Selon Eugene H. Dollar dans Fishery, Aquaculture, and Marine Mammal Legislation du 109th Congress (Congressional Analysis Service, 9 septembre 2005), « certains experts affirment que le MMPA est scientifiquement irrationnel, principalement parce qu’il détermine un seul groupe de micro-organismes pour défense spécifique sans rapport avec leur pléthore ou leur position environnementale. » Néanmoins, la MMPA est attribuée pour avoir approuvé une étude sur les mammifères marins et attiré l’attention sur les problèmes liés à la mort accidentelle.
J’ai voyagé à Anguilla récemment, et cela a été une expérience pratique incroyable pour découvrir les perspectives de la nation. Colonisée par des colons britanniques de Saint-Kitts en 1650, Anguilla a été appliquée par Wonderful Britain jusqu’au début du 19ème siècle, une fois que l’île – des besoins de votre peuple – a été incorporée dans une dépendance anglaise particulière ainsi que Saint-Kitts-et-Nevis. Plusieurs tentatives de séparation échouent. En 1971, 2 ans juste après une révolte, Anguilla fut finalement capable de faire sécession; cet arrangement a été officiellement accepté en 1980, avec Anguilla se transformant en une dépendance anglaise indépendante. Le 7 septembre 2017, l’île a subi de graves problèmes de l’ouragan Irma, en particulier pour les communications et les installations des ménages et de l’entreprise. Anguilla possède une poignée de sources entièrement naturelles, n’est pas adaptée à l’agriculture, et l’économie dépendrait également intensément du tourisme de luxe, de la finance offshore, de la pêche au homard et des envois de fonds des émigrants. L’exercice intensif dans le secteur des voyages et des loisirs a stimulé le développement du secteur du design, contribuant à la croissance monétaire. Les représentants anguillais ont déployé beaucoup d’efforts pour établir le champ économique à l’étranger, qui peut être modeste mais en croissance. Dans l’expression moyenne, les pistes pour cette économie dépendront en grande partie de la guérison du marché du tourisme et, pour cette raison, de la relance du développement des flux de trésorerie dans les pays développés du monde entier et également des conditions climatiques idéales. Anguilla était habitée il y a plusieurs milliers d’années ainsi qu’à plusieurs reprises par un certain nombre de Caribéens venus d’Amérique du Sud. L’une de ces organisations, les Arawaks, s’est installée à Anguilla essentiellement de façon permanente en 2000 b.c.e. Les premiers Européens à arriver sur l’île furent les Anglais, qui possédèrent le premier colonisé Saint Kitts, puis Anguilla en 1650. Les Arawaks avaient maintenant disparu, presque certainement emportés par la maladie, les pirates et les explorateurs occidentaux. Néanmoins, en 1656, la langue anglaise fut par la suite massacrée par un petit groupe de Caraïbes, bien connu pour son expertise de guerriers et de propriétaires de fermes. Les Anglais sont finalement revenus et ont essayé de cultiver la terre mais le climat exempt d’humidité d’Anguilla a empêché ses fermes de devenir jamais rentables. La place d’Anguilla en tant que colonie initiale, puis centrée sur un autre territoire du Royaume-Uni, l’a empêchée de s’établir comme un pays impartial comme d’autres grandes îles des Caraïbes. Considérant que 1980 Anguilla a prospéré en tant que territoire centré sur l’individu. Avec une augmentation globale de la richesse économique et la fin du conflit avec Saint-Kitts, les Anguillais sont en ce moment confiants quant à leur potentiel. Les troubles liés aux conflits de classes ethniques, raciales et sociétales ont toujours été faibles à Anguilla. La dimension modeste de l’île et le sol riche insuffisant ont empêché la construction du programme de plantation, qui a eu des effets secondaires indésirables persistants prolongés sur de nombreuses communautés des Caraïbes. La plupart des Anguillais ont un passé historique mixte en Afrique de l’Ouest, en irlandais, en anglais ou en gallois. La petite minorité caucasienne est effectivement incorporée en utilisant le pourcentage ethnique le plus élevé.
J’ai réalisé quelque chose d’incroyable récemment, parce que je me suis rendu à Jéricho, un endroit si gravé dans l’histoire, que j’ai pu profiter de l’atmosphère parce que j’ai effectué un saut en parachute. Jéricho est probablement le tout premier établissement stable sur terre, datant peut-être d’environ 9000 avant notre ère. Des fouilles archéologiques ont révélé la longue histoire de Jéricho. Le site de la ville a une excellente importance archéologique; elle donne la preuve de la croissance initiale des établissements durables et donc des toutes premières techniques vers la société. Voir Jéricho dans le ciel est certainement une expertise remarquable. On a découvert des vestiges de visites de chasseurs mésolithiques, datés au carbone à environ 9000 avant notre ère, et également une longue période d’arrangement par leurs descendants. Vers 8000 avant notre ère, le peuple était devenu une communauté arrangée capable de construire une structure de paroi rocheuse massive autour de l’arrangement, augmentée à un moment donné au moins par le biais d’une énorme tour de pierres précieuses. La taille réelle de cet arrangement justifie l’utilisation de l’expression ville et implique un nombre d’habitants de 2 000 à 3 000 personnes. Ainsi, ces mille années ont vu le passage de votre style de vie de camping à un arrangement complet. Le développement de l’agriculture peut être inféré en utilisant cela, et des grains de types développés de blé ou de grains et d’orge ont été découverts. Jéricho est donc l’un des endroits fournissant la preuve d’une agriculture assez précoce. Il est vraiment extrêmement probable que, pour fournir un territoire adéquat pour l’agriculture, l’arrosage ait été inventé. Cette tradition néolithique primaire de la Palestine était vraiment une avancée strictement indigène. Ces passagers étaient devenus populaires vers 7000 avant notre ère par le biais d’une seconde classe, prenant une tradition qui était encore néolithique mais ne produisait toujours pas de poterie, même si elle n’était pas originaire. Ce travail signifie très probablement l’arrivée de nouveaux arrivants de l’un des nombreux autres centres, potentiellement en Haute-Syrie, où s’est créé le mode de vie néolithique en fonction de l’agriculture expérimentée. Cette deuxième phase néolithique s’est terminée vers 6000 avant notre ère. Pour les mille années suivantes, il n’y a guère de preuves de profession à Jéricho. Pas plus de 5000 avant notre ère, Jericho démontre les effets des améliorations qui se produisaient dans le nord, où une variété de quartiers s’améliorant à tout moment s’est manifestée, continuent au néolithique mais marqués par la poterie. Les premiers consommateurs de poterie de Jéricho étaient néanmoins primitifs par rapport à leurs prédécesseurs sur le site, résidant dans des huttes simples enfoncées dans la terre. Ces gens étaient probablement principalement des pasteurs. Au bout de 2 000 ans, la profession était clairsemée et peut-être intermittente. Après le 4ème millénaire avant notre ère, une culture urbaine s’est de nouveau manifestée à Jéricho, comme dans la plupart de la Palestine. Jéricho était à nouveau une ville fortifiée, utilisant ses surfaces murales fréquemment reconstruites. Vers 2300 avant notre ère, il y avait clairement une fois de plus un repos dans la vie urbaine. Les nouveaux arrivants nomades, composés de nombreuses équipes différentes, étaient très probablement les Amoréens. Leurs successeurs, vers 1900 avant notre ère, ont été les Cananéens, exprimant une tradition identifiée sur l’ensemble du littoral méditerranéen. Les Cananéens ont réintroduit l’existence du village et les fouilles ont fourni des données sur leurs maisons ainsi que sur leurs meubles de maison, qui ont été trouvés dans leurs tombes comme équipement du défunt à l’intérieur de l’au-delà. Ces percées ont indiqué la nature de la culture que les Israélites ont trouvée lorsqu’ils se sont infiltrés à Canaan et qu’ils ont principalement adoptée. Pour moi, ce saut en parachute est une rencontre remarquable, et je le suggère fortement, à Jéricho si vous le pouvez, saut en parachute ou plus près de vous. Un saut en parachute est tout simplement incroyable.
Une de mes collègues de Bordeaux est revenue récemment de son premier voyage dans le Piémont. Il n’ya pas d’autre expression pour cela: elle avait été séduite. La nourriture, le vin rouge, les individus, le paysage, l’architecture – il y a certainement quelque chose en Italie qui vous permet de soupirer avec envie. Peu de temps après le Piémont, tout semblait si terne. Lors de mon plus récent voyage dans la région, mon palais anglais m’a pris au dépourvu. J’aime le poivre de couleur noire et j’en ai demandé pour habiller mes pâtes alla salsa di pomodoro. La réponse n’aurait pas pu être déjà beaucoup plus scandaleuse. Mes amis ont couvert leur visage avec honte. Ils avaient raison – le plat n’avait besoin de rien. Les Italiens apprécient leurs repas sans le savoir et l’acceptent avec beaucoup de sérieux. Maintenant les vins. Le Piémont est frappant et idiosyncratique, et le scénario viticole a son propre discours sur les francs-tireurs excentriques. Walter Massa de Vigneti Massa, par exemple, a le semblant d’un demi prophète. Il pense qu’un seul raisin blanc, le timorasso, est conçu pour le terroir d’Alessandria, à l’est de la région. Il l’a donc sauvé de la quasi-extinction et peut maintenant produire des boissons à base de vin électrisantes. À titre d’exemple, sa Derthona 2013, qui présente des fruits frais succulents et spectaculaires, contrastant avec un niveau d’acidité piquant de la bouche. Aux alentours de Gavi, la Villa Sparina que nous avons encouragée est fabriquée à partir du cépage Cortese, prisé des amateurs de vino en raison de son niveau élevé d’acidité et de ses arômes spectaculaires. Il est pratiquement inconnu à l’extérieur de ce coin nord-ouest. France. Le cépage populaire du Piémont est le nebbiolo, avec son meilleur producteur connu est le Gaja. Angelo Gaja et ses filles Gaia et Rossana génèrent une gamme de Barbarescos et Barolos; Les boissons au vin extrêmes et terreuses sont considérées comme la meilleure expression du nebbiolo. Si vous sentez une couleur, donnez-les à Berry Bros And Rudd. Gaja est peut-être le souverain de Barbaresco et ses vins sont aussi chers que la nuit à l’opéra, mais il existe de nombreux exemples remarquables, à prix légèrement plus raisonnable, un peu comme la Cantina del Pino ci-dessous. La différence visible entre Barolo et Barbaresco est simple. La deuxième place est légèrement plus chaude, ses vignobles plus abrités et le nebbiolo a tendance à mûrir auparavant. Par conséquent, les tanins pourraient être plus doux et les vins plus amicaux plus rapidement. Pendant de nombreuses années, on a considéré que les vins Barbaresco ne pouvaient pas atteindre la force et la concentration du Barolo.
Le 20 juillet 1969, Edwin « Buzz » * Aldrin et son collègue astronaute Neil Armstrong sont devenus les premiers humains à se diriger vers un autre monde entier: la Lune de la Terre. Cette réalisation pourrait bien être la marque technique des hautes eaux du XXe siècle. L’adoration d’Aldrin pour la recherche et la poursuite de l’éclat et de la réussite a commencé au début de son existence. Né le 20 janvier 1930 à Montclair, dans le New Jersey, Aldrin a obtenu un baccalauréat en recherche scientifique par le biais de l’Académie militaire des États-Unis en 1951, terminant troisième de son école. Peu de temps après son entrée dans l’US Oxygen Force, Aldrin a obtenu ses premières ailes en 1952. En tant que pilote de chasse F86 mma au cours de la bataille de Corée, Aldrin a effectué soixante-six missions de combat. Il est ensuite venu au Massachusetts Institute of Technologies (MIT), où il a écrit une thèse intitulée «Guidance for Manned Orbital Rendezvous». Après ses études scientifiques de doctorat, Aldrin a été affecté à l’atmosphère Force Systems Order à La. La curiosité d’Aldrin au sujet de l’enquête spatiale l’a conduit à obtenir un tour de responsabilité de National Aeronautics and Place Management en tant qu’astronaute. Aldrin a été choisi comme astronaute en 1963. Les connaissances en matière d’enquête sur le nouveau champ de rendez-vous qu’il a rencontré, acquises tout au long de ses rapports au MIT, ont été utilisées au sein du You.S. Plan Gemini. Le 11 novembre 1966, Aldrin, avec James Lovell, a volé dans l’espace à bord du vaisseau spatial biplace Gemini 12. Au cours de cette mission, les astronautes Gemini ont rendez-vous et ont accosté en se concentrant sur Agena. Pendant la liaison, expérience pilote de chasse Aldrin a effectué une marche dans l’espace de 5,5 à 60 minutes. Utilisation des doigts contient et ft. bien que prudemment, Aldrin a accompli une tâche extravéhiculaire révolutionnaire compte tenu des nombreux problèmes rencontrés par les marcheurs de la région. Les capacités exclusives d’Aldin dans la création de méthodes de rendez-vous ont été testées une fois de plus en juillet 1969. Aldrin et ses formidables astronautes d’Apollo 11, Neil Armstrong et Mike Collins, ont été la toute première équipe à tenter un atterrissage humain autour de la Lune. Une fois en orbite lunaire, Armstrong et Aldrin ont piloté un art en voie de réalisation, l’aigle, pour un toucher sûr de la mer de tranquillité de la lune. Peu de temps après avoir rejoint Armstrong à propos de la surface lunaire, Aldrin a défini l’arène comme « une désolation impressionnante ». Ils ont regardé le lieu d’obtention pendant 2 heures, rassemblant du matériel de recherche et recueillant des roches et des échantillons de sol. Les deux astronautes ont ensuite rejoint Collins pour ce voyage de retour vers la planète. Aldrin a été renvoyé à la responsabilité productive des forces armées en 1971 et a été affecté à Edwards Air flow Power Bottom en Californie en tant que commandant de la Check Pilots University. Il a pris sa retraite des États-Unis. Air flow Pressure en tant que colonel en 1972. Aldrin est vraiment le porte-parole d’un plan spatial plus solide et considérablement élargi. Il continue de faire progresser de nouveaux concepts pour les déplacements dans les zones à coût réduit et approuve les voyages dans l’espace public. Aldrin allume constamment de nouvelles suggestions pour ouvrir le système d’énergie solaire intérieure. L’une de ses idées est le déploiement d’un programme de transport de vaisseaux spatiaux réutilisables reliant la Terre et Mars pour votre activité de régime des individus et du fret. Aldrin a créé un certain nombre de guides, révélant aux lecteurs son expérience en salle. Comme un co-écrivain, Aldrin est l’auteur de livres de science-fiction qui montrent le développement de l’exploration de la pièce dans un avenir très riche.