Samedi dernier, j’ai concrétisé un rêve de gosse : j’ai réalisé un vol en avion de chasse. Une expérience assez courte (trente minutes) mais particulièrement intense. J’ai un peu hésité à l’idée d’écrire un article là-dessus, car je ne pense pas qu’il soit possible de décrire un tel moment. Mais après tout, si je n’évoque pas ici une aventure pareille, ce blog a-t-il encore une utilité ? Je vais donc essayer de vous relater tout ça. Samedi dernier, je suis donc allé à l’aérodrome pour y effectuer ce baptême de l’air un peu singulier. Le vol ne se faisait évidemment pas à bord d’un F-35, mais tout de même, il se faisait à bord d’un Fouga, qui a servi pendant près de 20 ans à la Patrouille de France ! S’il ne ressemble pas du tout à un avion de combat, avec sa double queue très caractéristique, il est bien rompu aux acrobaties aériennes. Je vous passerai les détails des présentations et du briefing pour passer directement à l’essentiel. Une chose à préciser tout de suite : en altitude, je me suis tout de suite senti dans mon élément. Le Fouga dégage en effet une forte puissance, qui permet de se sentir en confiance : en effet, il garde sa trajectoire, même avec un vent latéral assez fort. Clairement, on est aux antipodes de ce qu’on peut éprouver à bord d’un avion de tourisme ! Mais passons au vol lui-même. Si le vol est plutôt pépère les premières minutes, ce n’est en fait qu’une phase de découverte. Et il devient très différent quand débute la phase acrobatique ! On découvre la violence du schmilblick dès la première vrille, quand on se retrouve sans prévenir plaqué contre son siège avec la vitesse. La pression qu’on ressent sur le corps est fantastique. Comme si une main géante tentait de vous aplatir. On doit recevoir 4,5 G pendant certaines figures : on pèse alors 4,5 fois son poids habituel ! Il faut même se contracter au maximum pour ne pas s’évanouir ! Alors bon, présenté comme ça, on pourrait croire qu’il s’agit d’une souffrance, mais en fait pas du tout : c’est une sensation exceptionnelle. La seule chose éprouvante, en fait, c’est de basculer des G positifs aux négatifs quand on s’y attend le moins. Ca, on peut dire que ça remue méchamment et que ça a vite tendance à vous filer la nausée. A tel point que si j’ai raffolé de cette partie acrobatique, j’ai tout de même été soulagé quand nous avons pris la direction du retour. Je n’aurais pas tenu une minute de plus sans faire usage du sac en papier ! De retour sur le plancher des vaches, j’étais encore livide, mais quelle importance ? J’étais le roi du monde ! Davantage d’information sur cette activité de baptême en MiG29 en allant sur le site internet de l’organisateur.
Au niveau mondial, les hommes sont presque trois fois plus susceptibles que les femmes de faire usage de drogues illicites, tandis que celles-ci sont plus susceptibles qu’eux de faire usage d’opioïdes de prescription et de tranquillisants. Si les troubles liés à l’usage de drogues sont plus couramment observés chez les hommes, la prévalence de cet usage chez les femmes connaît une augmentation depuis une vingtaine d’années, notamment dans certains pays à revenu élevé. En outre, une fois que les femmes commencent leur consommation, la dépendance se développe beaucoup plus rapidement chez elles que chez les hommes. Il est important de noter que très peu de femmes en situation de dépendance ont accès à des services de traitement. Un tiers des usagers de drogues sont des femmes, tandis qu’elles ne représentent qu’un cinquième des personnes qui bénéficient d’un traitement. La stigmatisation est le principal obstacle à la recherche d’un traitement. Bien que moins de femmes que d’hommes consomment des drogues, les conséquences en matière de santé publique des troubles liés à cette consommation chez les femmes sont considérables et appellent le recours à des services de traitement adaptés aux besoins de celles-ci. Il faut notamment régler les questions de l’aide à la garde des enfants, de la santé en matière de sexualité, de grossesse et de procréation, de la comorbidité psychiatrique, des violences physiques et sexuelles, du travail du sexe et du logement. L’OMS a élaboré des principes directeurs relatifs à la gestion de l’usage de drogues pendant la grossesse. L’OICS a porté une attention particulière à la question des femmes et des drogues au chapitre premier de son rapport annuel pour 2016.